• mémoire d'un Drakens (suite et fin)

     (avec fond sonore)

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    ...Je ne peux que résumer vivement tous ceci car les heures me sont comptées et les forces me manquent :

    Tout au début, il n’y avait que des poussières dansantes dans un vide gigantesque, puis à force de danser, elles s’unirent les unes aux autres en plusieurs entités, Formant Hyndil, le soleil, les étoiles, nos lunes, ainsi que Ragüelnoth car là où il y a le bon, il y a aussi le mauvais.

    L’univers tout entier est ainsi fait, de grains de poussières : de grains de terres, de grains de vents, de grains de feux, de grains d’eaux, et de grains de sangs. Mais les poussières réunies en entités continuèrent à danser, et elles créèrent ainsi des entités pensantes : les Dragons, un peuple magnifique d’intelligences et de connaissances innées. Issus des poussières de l’univers, ils avaient le pouvoir de commander la poussière. C’est ainsi qu’ils créèrent des créatures inférieurs juste pour avoir le bonheur de voir évoluer d’autres êtres pensants. Et parmi ces êtres pensant, il y avait nos ancêtres. Mais au-delà des Dragons, les poussières d’étoiles avaient créées une autre intelligence, des entités sans corps qui veillent sur les autres créatures et que nous appelons les Hauts-Rois. Et les Hauts-Rois choisirent des élues parmi les espèces les plus évoluées : Dragons, Hyndiliens, Loups… Des élus dotés de magies et d’une vie de plusieurs millier d’années. Ce sont les messagers des Hauts-Rois formant la caste des “ Gran’dhir’’ et nous leur vouons un respect absolue.  

    Puis le temps à passé et la race des Dragons s’éteignit car tout ce qui a un début a une fin. Mais les Dragons essayèrent de sauvegarder leur espèce en créant cette cité hors du temps, protégée par la ligne des vents. Ils s’épuisèrent à un tel point qu’ils périrent tous ou presque.

    Mais ils gardèrent un grand secret dans les confins de la citadelle. Un Grand Secret Qui leur redonnera vie. Il ne reste à ce jour, qu’un seul spécimen de leur race. Il a survécu car il est un élu des Hauts-Rois. Un Gran’dhir, et c’est ainsi que nous l’appelons.

    Pardon de brûler les étapes de mon récit, mais je dois raconter jusqu’au bout, c’est mon ultime devoirs.

    Nous apprîmes donc à nous battre sous les ordres de notre frère, et nous apprîmes de Gran’dhir les rudiments de la magie sans pouvoir la pratiquer car il faut êtres lier à un Dragons pour cela. Et nous apprîmes les prophéties.

    Ma vie s’enfuit.

     

                                                                                                                  

     

     

    D’ après les prophéties, les races que nous avions créées en nous séparant, allaient se faire la guerre, et le temps montra que les prophéties avaient raisons.

    Une de ces races deviendra à la suite de cela la plus abominable des races. Mais malgré nos pouvoirs et notre désire d’agir nous n’avons pas eut le droit d’intervenir. Gran’dhir nous garda prisonniers malgré nos supplications.

    -Vous n’êtes pas prêts, nous dit il, la guerre qui ce déroule en ce moment au dehors de cité des vents n’est pas la votre. Il y a bien des horreurs à venir, et si vous risquer vos vies maintenant, vous serez perdus et le monde avec vous. Vous devez attendre la révélation du Grand Secret. Alors à ce moment là et à ce moment là seulement, vous serez prêts. Il nous expliqua aussi que le secret serait révélé par l’Enfant d’Alliance, un enfant issu de toutes les races que nous avions créées. Et que nous devrons trouver cet enfant.

    Plus de mille ans c’étaient écoulés au dehors. Nous n’avions pas vieillit et nous n’avions pas vu le temps passer.

    Nous sommes désormais un peuple d’élus. Une caste chargée de protéger le monde grâce au Secret révélé par l’Enfant d’Alliance.

    Nous sommes la caste des Drakens.

    Mais je ne verrais jamais la fin de notre histoire. J’étais le seul à avoir le pouvoir de franchir la ligne des vents selon mon désir, car je suis le premier à l’avoir franchit. Alors je suis sorti de la cité et la guerre gronde au dehors ; la prophétie est en marche. J’ai désobéis et j’en paie le prix. J’ai voulu intervenir dans un combat qui n’était pas le mien et j’ai été grièvement blessé.

    Je suis revenu dans la cité pour mourir auprès des miens Je crois que je ne passerais pas la nuit.

     

     

     

    Trea gardnar esra drok

     

    Tous ce qui a un début a une fin

    Telle est notre devise. 

      

    l'adieu au Draken >>

     

     

     (Enya : Boadicea)


  • Commentaires

    1
    Bahakell
    Mercredi 7 Janvier 2009 à 12:47
    Gloups... La fin est triste mais peut être un peu trop rapide, néanmoins se récit ma pas mal touché, bravo !
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